Quelles sont les causes du syndrome ?

Ce trouble du comportement atteint le plus souvent les personnes âgées, mais il n’est pas rare que des personnes plus jeunes en soient touchées. Dans ce cas, le syndrome cache pour la plupart une véritable maladie psychophysique. Cette dernière peut être un trouble obsessionnel compulsif, une psychose, un trouble neurologique débutant ou une dépression. Si la cause est psychiatrique, il faut faire appel à l’expertise d’un psychiatre pour traiter le cas. Si elle est d’ordre neurologique, c’est au neurologue de prendre en charge le patient.

De manière générale, le syndrome n’apparait qu’après un événement traumatisant important. Il peut s’agir de la perte d’un être proche ou d’un changement brutal du quotidien du patient. Celui-ci peut de ce fait commencer à accumuler les objets. Il peut le faire de sa propre volonté (Syndrome de Diogène actif) ou involontairement par paresse (Syndrome de Diogène passif).

Comment identifier une personne atteinte du syndrome ?

Le premier indice qui laisse penser qu’une personne pourrait bien souffrir de ce syndrome, c’est le désordre qui règne chez elle. Cependant, cet indice n’est pas toujours suffisant étant donné qu’une personne saine d’esprit, mais avec un mauvais sens de l’organisation peut tout aussi bien avoir des difficultés à mettre de l’ordre dans sa demeure. Pour mieux identifier le syndrome, le site spécialisé syndrome-diogene.fr conseille de se fier à d’autres indices. Une personne atteinte du trouble présente par exemple une négligence de son hygiène corporelle. Elle peut également avoir un certain isolement social et refuser tout contact avec autrui ou toute aide extérieure. Il devient dans ce cas impossible d’entrer dans sa demeure pour l’aider à la nettoyer. D’ailleurs, la personne présentant ce syndrome sera indifférente au désordre dans lequel elle vit, peu importe le niveau d’insalubrité de sa maison. À cause de son déni de la réalité, elle refuse d’admettre qu’elle a un réel problème.

Comment aider un patient atteint du syndrome ?

Aider une personne atteinte du syndrome de Diogène demande beaucoup de tact et de patience. Les professionnels de la santé doivent s’y prendre avec précaution. En effet, à cause de son état d’isolement, le patient ne se considère pas comme étant malade. Il peut de ce fait refuser l’aide d’un médecin. S’il est forcé à suivre une thérapie, cela peut causer une forte angoisse qui peut finir par le pousser au suicide. Par ailleurs, les médecins ne sont pas obligés d’intervenir face à un patient atteint du syndrome de Diogène. S’il s’agit d’un choix de vie du patient, nul ne peut le contraindre à adopter un autre mode vie. Pour intervenir, le praticien doit tout d’abord s’assurer qu’il s’agit d’une réaction pathologique. Ensuite, il doit gagner la confiance du patient afin qu’il puisse lui faire comprendre petit à petit la situation dans laquelle il est. Cette démarche peut être longue et complexe à mettre en place étant donné les nombreuses questions sur l’éthique. La dernière étape consiste logiquement à nettoyer le logement du patient pour sa propre sécurité ainsi que celle de son voisinage.

Il commence à faire frais…

A l’approche de l’automne, vous sentez que l’air se rafraîchit de plus en plus, signe qui ne trompe pas, jamais. Une fois au coeur de l’automne, le vent et la pluie feront partie de notre quotidien. Que cela ne vous empêche pas de garder votre rythme et vos activités physiques et sportives ! Justement, en continuant à faire du sport régulièrement, vous chasserez le blues automnal. En restant actif, votre corps, votre organisme resteront en pleine forme. Couvrez-vous bien, portez de bonnes chaussures et faites de la marche. Vous allez brûler des calories, vous aérer et votre circulation sanguine sera améliorée. Marcher permet aussi de déstresser.

Attention à ce que vous mangez

En automne, on a tendance à prendre du poids. Le fait est qu’en été, on mange plus frais, on mange plus léger parce que ce sont les vacances, on a le temps, on soigne ce qu’on met dans son assiette. Puisqu’il fait plus froid en automne, on est plus enclin à manger plus gras. Pour ne pas grossir en cette saison, mangez davantage de pommes de terre, de légumes verts et du potiron, des légumes de saison. Préférez également les légumes de couleurs sombres tels que le chou frisé, les fruits tels que la grenade.

Faites des exercices adaptés

Il est très important que les douleurs et les raideurs que vous ressentez ne soient pas un obstacle à la pratique d’exercices physiques. Il y des mouvements adaptés qui peuvent soulager grandement la névralgie cervico-brachiale. Leur but est de diminuer la tension dans les muscles, ce qui entraînera nécessairement un soulagement au niveau des douleurs. Faites des exercices d’étirement de l’arrière de votre nuque mais en douceur. Vous êtes allé trop loin si la douleur devient insupportable. Gardez cette position entre 30 et 45 secondes et répétez cet exercice 3 fois de suite. Les exercices pour relâcher la base du crâne se font debout, le dos droit en rentrant votre menton sans pencher la tête. Maintenez cette position 20 secondes et relâchez, à effectuer une dizaine de fois.

Un peu de massage

Il s’avère que le massage est tout aussi efficace pour la névralgie cervico-brachiale. Avec de l’huile essentielle de gaulthérie, massez doucement vos muscles douloureux. Concrètement, diluez-en 20 gouttes dans 500 ml d’huile de support, mélangez bien et appliquez sur votre nuque ou versez entre vos mains et frottez bien. Puis, massez votre nuque, toujours en douceur et avec des mouvements lentes et étalez-en aussi sur les trapèzes. Si vous ne savez pas vous auto-masser, faites appel à un spécialiste pour que le résultat ne soit pas le contraire de celui escompté. Surtout, ne forcez pas et arrêtez si la douleur est trop forte.

La chevillière de maintien

Ce modèle est indiqué pour les douleurs articulaires légères qui peuvent être due à la reprise d’activité sportive. Le choix de la chevillière de maintien est basé sur l’antécédent de la blessure, des activités journalières de la personne et de l’intensité de l’activité physique à effectuer. Pour éviter que votre cheville subisse de nouvelles torsions, il est conseillé d’opter pour une chevillière de maintien composée d’un tissu compressif de classe 3.

La chevillière de sport

Servant à assurer la protection de votre cheville pendant vos séances de sport, la chevillière de sport vous permet d’éviter les foulures et les entorses. Elle est tout spécialement recommandée aux personnes qui ont déjà eu des antécédents. Ce type de chevillière assure le maintien de l’articulation par une compression qui doit être conforme au besoin de votre besoin en tant que sportif.

La chevillière ligamentaire

La chevillière ligamentaire est préconisée en cas de traumatisme des ligaments latéraux qui se trouvent au niveau de la cheville. Son efficacité est tout spécialement appréciée pour les entorses bénignes et d’intensité moyenne. Mis à part sa fonction de maintien et de stabilisation de la cheville, ce modèle permet aussi de soulager la douleur. Il agit surtout sur les œdèmes, en les résorbant par une compression. En outre, une chevillière ligamentaire procure un véritable confort à celui qui le porte puisqu’elle est généralement dotée de coussinets au niveau des malléoles.

La chevillière souple

Le port de ce type de chevillière est plutôt recommandé aux personnes qui ont une cheville fragile ou dont la cheville se montre tout particulièrement douloureuse. La chevillière souple est généralement constituée d’un tissu élastique avec une compression de classe 2. Dès lors, son utilisateur profite d’une agréable zone de confort au niveau de ses malléoles.
Il est à noter qu’il existe encore d’autres types de chevillières.