Par voie buccale

On connaît tous ces cachets, sirop, gélules et autres à avaler. Cependant, il est à noter que tous les médicaments qu’on met dans la bouche ne sont pas tous à administrer par voie orale. En effet, il en existe qu’on doit mettre sous la langue et qu’on laisse se dissoudre. Ils présentent un avantage dans le fait que les molécules actives ne passent pas par le système digestif, mais par de petits vaisseaux sanguins sous la langue. Cela peut être un avantage dans le cas des patients ayant un estomac fragile. Cela dit, peu de médicaments suivent cette voie sublinguale. D’autres traitements sont à prendre par inhalation et sont donc inspirés par la bouche avant d’aller dans la voie respiratoire.

Par le biais d’un orifice, ça existe ?

D’autres médicaments empruntent un orifice pour agir localement ou pour contourner et résoudre des problèmes d’administration. D’abord, parmi ceux qui agissent localement on a les médicaments qui sont administrés par voie nasale, auriculaire et vaginale. Les médicaments qui sont administrés par le nez et par l’oreille sont souvent sous forme liquide bien que les médicaments, donnés par nébulisation, soient sous forme de fines particules à inspirer. Les médicaments par voie vaginale, eux, se présentent sous diverses formes. Ensuite, il y a aussi les suppositoires qui empruntent une voie rectale. Ceux-ci aident à éviter les injections ou éviter aux patients d’avaler. Les molécules actives passent par la paroi intestinale et va dans le sang.

Par la peau ou à travers la peau ?

Certains médicaments sont à injecter. Dans ce groupe, on retrouve les intramusculaires et les intraveineuses. Tous deux passent dans le sang, mais pour les intramusculaires, les molécules doivent encore passer par les muscles. Ces médicaments sont sous forme liquide pour traiter rapidement la maladie. Outre les piqûres, il existe aussi des patchs qui sont utilisés par voie transdermique, des lotions ou crèmes employées par voie cutanée et enfin des implants qu’on place sous la peau.

Avoir une bonne hygiène alimentaire

Adopter un régime alimentaire spécial permet de lutter contre la diarrhée. Pour cela, il faut fractionner la prise alimentaire. Prenez 6 petits repas par jour au lieu de trois. Evitez de consommer trop d’aliments en une seule prise pour soulager le système digestif. Ensuite, privilégiez les plats qui se digèrent facilement tels que les soupes ou encore les potages. De plus, ils permettent de réhydrater l’organisme. Pour les repas consistants, optez pour le riz, les pommes de terre, les carottes, les bananes mûres, les pâtes et les compotes de pommes. Puis, les viandes et poissons maigres sont recommandés. Enfin, buvez beaucoup d’eau.

Quelques astuces pour stopper la diarrhée

Cette astuce de grand-mère est conseillée dans le cas d’une diarrhée aiguë. Cela consiste à boire un grand verre d’eau chaude avec du jus d’un citron chaque jour jusqu’à ce que les symptômes disparaissent. Cela peut aider à stopper rapidement et à soulager les maux de ventre. En hiver, vous pouvez boire cette solution tout le soir avant de rejoindre votre lit pour prévenir la gastro-entérite. Pensez à ajouter un peu de miel si vous voulez améliorer son goût. Sinon vous pouvez utiliser de l’argile blanche pour combattre la diarrhée, surtout la diarrhée du voyageur. Il suffit d’ajouter une cuillère à café de cette poudre dans un verre d’eau et de diluer.

Quand faut-il consulter ?

La plupart de diarrhée chez l’adulte semblent sans gravité. Cela dit, certains symptômes nécessitent rapidement une consultation. Lorsque les selles contiennent de pus ou de sang, s’il y a de sérieuses crampes d’estomac ou encore une fièvre persistante, il faut penser à voir le médecin. Si la diarrhée ne s’est pas améliorée après 3 jours, il faut obtenir un avis médical. Si un enfant de moins de 2 ans, ou encore une personne âgée est sujet à la déshydratation, il faut consulter. Lors d’une diarrhée aiguë, le médecin pourra prescrire une coproculture. Cela dit, certains médicaments antidiarrhéiques sont vendus sans ordonnance, mais qui restent déconseillés pendant les 2 premiers jours de l’apparition de la diarrhée. Le mieux est de laisser l’organisme s’épurer au début, surtout en cas d’intoxication alimentaire.

Les différents traitements de la mycose vaginale

Les causes de la mycose vaginale sont complexes : transmission lors d’un rapport sexuel, rupture de l’équilibre de la flore vaginale, changements hormonaux, hygiène intime mal adaptée, etc. Quelle que soit la cause, les traitements sont en principe les mêmes. Le traitement de base est l’antifongique. En général, une dose unique d’antifongique permet de venir à bout de la mycose vaginale. Le médecin peut aussi prescrire une crème antifongique qu’il faudra appliquer sur la zone infectée durant trois jours environ. Ces deux traitements sont parfaits pour des infections moins graves. Lorsque les infections se trouvent à un stade plus élevé, le traitement peut s’avérer plus long. Des compléments alimentaires peuvent être rajoutés au traitement. Il serait plus prudent de consulter un médecin (gynécologue) avant de traiter une mycose même si certains médicaments peuvent s’obtenir sans ordonnance.
A part les médicaments, il existe des remèdes naturels contre la mycose vaginale :
• L’huile coco : il s’agit d’un anti-levure ayant des propriétés antifongiques. Il suffit d’enduire la zone infectée avec cette huile miraculeuse.
• Le yaourt nature bio : il sert à rétablir l’équilibre de la flore vaginale perturbé par la mycose vaginale. Il est riche en probiotiques. Pour l’utiliser, veuillez enduire un tampon et glissez-le à l’intérieur du vagin pendant une heure environ. Faites cela deux fois par jour dans un délai de 15 jours environ pour garantir son efficacité.
• L’extrait de pépins de pamplemousse : il s’agit à la fois d’un antifongique et antibactérien d’une puissance exceptionnelle. Contre les mycoses, il faut le diluer dans de l’huile de sésame et introduire dans le vagin un tampon préalablement plongé dedans. Faites cette cure pendant 7 jours, les résultats seront surprenants.

Prévenir la mycose vaginale

Pour éviter les récidives, il convient de prévenir la maladie. Comment ? Tout simplement, en adoptant les bons gestes au quotidien. L’essentiel est de bloquer la prolifération des champignons. Pour ce faire, évitez de porter des dessous synthétiques ou trop près du corps. En effet, cela favorise le développement des champignons. Les jeans trop serrés sont aussi déconseillés. Pour votre information, les vêtements serrés comme les tissus synthétiques favorisent l’humidité et la chaleur au niveau du vagin. Ce qui crée un environnement idéal pour les champignons.
Il existe aussi un moyen de prévenir l’apparition de la mycose vaginale : porter des sous-vêtements propres au quotidien, lavés à une chaleur de 60° minimum. Pour des tissus qui ne supportent pas plus de 20°, n’hésitez pas à utiliser additif de lavage pour éliminer les bactéries et champignons. N’oubliez pas que la mycose vaginale peut se transmettre par rapport sexuel, donc pour éviter les récidives, le partenaire doit aussi être traité. Il est aussi conseillé d’éviter les aliments pouvant favoriser l’apparition des mycoses : pâtes, sodas, pâtisseries, etc. En revanche, consommez des aliments anti-champignons comme le brocoli, la cannelle, l’avocat, le curcuma, etc.

Des mesures à prendre pour prévenir la leucémie

Il existe des mesures concrètes que vous pouvez prendre pour réduire le risque de leucémie. La première, c’est d’éviter de fumer ou d’arrêter si vous fumez. De plus, faites le nécessaire pour maintenir votre poids de santé car des études ont montré que l’obésité et l’embonpoint sont des facteurs de risque de leucémie. Cela passe par une alimentation saine et équilibrée et la pratique d’exercices physiques de manière régulière. Autant que possible, évitez tout contact avec du formaldéhyde et du benzène ou réduisez l’exposition avec ces produits toxiques, à la maison ou dans le cadre de votre travail par exemple. Ce peut être des pesticides et des insecticides.

Limitez les facteurs de risque

Si vous ne voulez pas courir le risque de contracter la leucémie, évitez de vivre près d’une station-service, surtout si vous avez des enfants. Cette proximité quadruple les risques de leucémie chez les petits et peut même multiplier par 7,7 le risque de présenter une leucémie aiguë myéloblastique. Autre mesure à prendre si vous vivez près des lignes à haute tension, envisagez de déménager car vous augmentez le risque de contracter ce cancer du sang. Surtout, consommez des aliments anti-cancer tels que les fruits et légumes (carottes, haricots verts, etc.)

Les raisons du gonflement

Les personnes qui ont des enflures au niveau des gencives sont généralement, atteintes de gingivite. Dans ce cas, les gencives deviennent rouges et enflent à chaque agression faite par des agents extérieurs ou par une attaque de bactérie. Résultat, en plus de l’enflure, il est aussi possible que la dentition de la personne se détériore rapidement, et qu’elle soit victime de caries. Pour éviter cela, il est toujours conseillé de faire attention à l’hygiène des dents et de la bouche. Ensuite, une autre raison de cette enflure est la parodontite. Ce cas se ressent si votre gingivite s’est aggravée. Dans ce cas, les gencives vont beaucoup enflées et cela, surtout à la racine de vos dents. Vous remarquerez alors, que les dents avec des gencives malades vont commencez à s’isoler et on verra des poches qui vont aussi se former. Si vous tardez à les soigner et à les traiter, des bactéries vont détériorer les tissus de vos gencives et ceux de votre dentition. Vous verrez alors, vos dents tombées, mais vous aurez également des risques de problèmes de cœur ou des cas d’AVC. Par ailleurs, on remarquera également que l’enflure des gencives peut être due à une déficience alimentaire et notamment, à cause d’un manque en vitamine C et en vitamine B. En effet, s’il y a une insuffisance de vitamine B dans la nutrition, la dentition ne sera pas bien entretenue et il n’y aura pas d’étape de réparation de cette dernière. Quant à l’insuffisance de vitamine C, il va accélérer le gonflement des gencives. Une autre raison de cette enflure des gencives est l’infection buccale. Il peut s’agir ici, de cas d’herpès ou de muguet. Mais dans tous les cas, l’infection est due à une attaque de virus. Et enfin, durant la période de grossesse, il n’est pas rare également de constater le gonflement des gencives chez la femme enceinte. Cela est surtout dû à un dérèglement hormonal qui va provoquer une arrivée de sang plus importante dans la zone buccale.

Comment y remédier de manière naturelle ?

Il est possible de soigner les douleurs et les enflures au niveau des gencives avec des remèdes fait-maisons. Cela n’égale pas les traitements octroyés par un dentiste, mais peut vous soulager si les symptômes ne sont pas encore très graves. Premièrement, on peut se faire des rinçages ou un bain de bouche avec de l’eau salée. Pour cela, prenez une tasse d’eau tiède (pas besoin de la bouillir), et rajoutez-y une cuillerée à souple de sel de table. Une fois que le tout bien mélangé, il vous suffira de prendre une gorgée de cette solution et de gargariser l’intérieur de votre bouche avec. Cela va aussi rincer votre bouche. Une fois que c’est fait, recrachez. Refaites l’action jusqu’à ce que vous ayez terminé le contenu de la tasse. L’action devra se faire le matin et le soir avant d’aller au lit. Une autre technique pour soigner le gonflement des gencives, c’est l’utilisation de compresses de gomme. Que vous utilisiez des compresses chaudes ou froides, cela va atténuer la douleur au niveau des gencives. Pour l’utilisation des compresses chaudes, prenez un tissu bien propre et trempez-le dans de l’eau tiède. Ensuite, rincez ! Appliquez le tissu à l’extérieur de la bouche en évitant le contact direct avec vos gencives malades. Pour la compresse froide, prenez un tissu propre et mettez-y un glaçon. Appliquez-le à l’extérieur également, en faisant en sorte de cibler la partie endolorie. Il est aussi possible d’asperger de l’huile essentielle sur la partie malade, en utilisant un spray. Pour cela, les huiles essentielles de girofle ou encore de menthe poivrée sont les plus conseillées. On peut également utiliser un sachez de thé déjà utilisé qu’on appliquera directement sur la gencive enflée.

Quelle est l’insuffisance des reins ?

Les reins sont conçus pour maintenir un équilibre adéquat des fluides dans le corps, éliminer les déchets et éliminer les toxines du sang. Les reins produisent de l’urine responsable du transport de ces produits d’élimination et de l’excès de liquide. Ils produisent également des hormones qui stimulent la production de globules rouges dans la moelle osseuse et renforcent les os. Le terme insuffisance rénale (rénale) décrit une situation dans laquelle les reins ont perdu la capacité d’effectuer efficacement ces fonctions. L’accumulation au niveau des déchets peut provoquer un déséquilibre chimique dans le sang, ce qui peut être fatal s’il n’est pas traité.

Comment diagnostiquer et évaluer l’insuffisance rénale ?

Il existe diverses causes d’insuffisance rénale et la cause la plus suspectée ou la plus probable détermine le type de test nécessaire et qui servira le mieux à en prouver la cause. Pour diagnostiquer une insuffisance rénale, votre médecin peut prescrire :
• Échographie rénale : ce test d’imagerie utilise des ondes sonores à haute fréquence pour visualiser les reins en temps réel. Il s’agit généralement du premier test obtenu pour examiner les reins.
• Tomodensitométrie corporelle : la tomodensitométrie (TDM) associe un équipement spécial à rayons X et des ordinateurs sophistiqués pour produire plusieurs images ou images de l’intérieur du corps. Ce test d’imagerie est souvent utilisé pour obtenir une image large des multiples causes d’insuffisance rénale.
• Urographie par tomodensitométrie ou IRM : cette procédure est utilisée pour évaluer les patients présentant du sang dans les urines, identifier les problèmes des patients présentant des infections fréquentes du tractus urinaire et pour le suivi des patients présentant des antécédents de cancer du système de cathéter urinaire..
• Imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRM) du corps : ce test d’imagerie utilise un champ magnétique et des impulsions de radiofréquence pour produire des images détaillées des reins.
• Biopsie : cette procédure consiste à prélever, sur la base d’images, un petit échantillon de tissu rénal afin d’examiner la présence de la maladie. En fin de compte, cela peut être nécessaire pour proposer un diagnostic, mais de nombreux tests d’imagerie sont généralement effectués en premier.

Causes et origine

Plusieurs maladies peuvent causer des lésions rénales. Les causes les plus courantes sont:
• Le diabète : une glycémie élevée provoque des dommages directs aux petits vaisseaux sanguins du rein. Si le diabète n’est pas maîtrisé ou si des pics de sucre surviennent fréquemment, cela peut entraîner une perte de la fonction rénale.
• Hypertension artérielle peut également endommager les petits vaisseaux sanguins du rein, les empêchant de filtrer correctement les déchets.
• Les maladies auto – immunes : ces pathologies sont caractérisées par une attaque aveugle du système immunitaire sur les cellules du corps lui-même. Par conséquent, il peut endommager de nombreux organes et systèmes, tels que les reins.
• Maladies héréditaires

Traitement de l’insuffisance rénale aiguë

Le traitement sera probablement axé sur les causes de l’insuffisance rénale, il peut donc varier. Par exemple, le patient peut avoir besoin de rétablir le flux sanguin dans les reins, d’arrêter tous les médicaments à l’origine du problème ou de supprimer un blocage des voies urinaires. Voici quelques-uns des solutions les plus préconisées par les médecins :
Changements de régime : une restriction de nourriture et de liquide devrait être faite. L’objectif est de réduire l’accumulation de toxines normalement éliminées par les reins. Une alimentation riche en glucides et pauvre en protéines, en sel et en potassium est généralement recommandée.
Médicaments : des antibiotiques peuvent être prescrits pour traiter ou prévenir toutes les infections pouvant causer ou aggraver une insuffisance rénale. Les diurétiques peuvent être utilisés pour aider les reins à éliminer les fluides. Du calcium et de l’insuline peuvent être prescrits pour aider à prévenir une accumulation dangereuse de potassium dans le sang.
Dialyse : cette procédure implique le détournement de sang hors de votre corps dans une machine qui filtre les déchets. Le sang pur est ensuite renvoyé dans votre corps. Si les niveaux de potassium sont dangereusement élevés, la dialyse peut sauver des vies. La dialyse peut être nécessaire, mais ce n’est pas toujours nécessaire. Il est utilisé si votre état mental change ou si vous arrêtez d’uriner. La dialyse peut également être nécessaire en cas de péricardite, une inflammation du cœur. La dialyse peut également aider à éliminer les déchets d’azote du corps.